Réalisée auprès d’un échantillon représentatif de la population de 10131 personnes âgées de 18 à 64 ans interrogées en ligne en février 2015, l’étude « The Modern Nomad : Connect me if you can » a été conduite dans 32 pays.
Un tri a été effectué sur l’échantillon entre le grand public (mainstream) qui représente 80% de l’échantillon et les consommateurs les plus avancés et prédictifs des comportements à venir du mainstream (les prosumers – outil propriétaire du réseau Havas Worldwide), soit 20% de l’échantillon.
La mobilité – quotidienne ou plus épisodique (weekends, vacances) – connaît de profonds changements. Se déplacer, ce n’est plus seulement prendre la route avec sa voiture ou prendre le train ou l’avion pour partir en weekend ou en vacances. La mobilité ce n’est plus seulement aller d’un point A à un point B. Sous le coup du digital, la mobilité est devenue bien plus qu’un simple déplacement. La mobilité d’aujourd’hui a à voir avec un état d’esprit et un rapport à la conscience de soi.
En effet, à l’image des autres catégories, la mobilité évolue et se transforme grâce à l’omniprésence du digital. Taxis remplacés par Uber, agences de voyage supplantées par Booking, Trip Advisor ou Google. Les acteurs traditionnels de la mobilité sont challengés par des marques « digital natives » qui investissent la mobilité avec des valeurs qui leur sont propres : l’agilité, la fluidité, la flexibilité, la capacité à donner les moyens aux gens de maîtriser leur environnement, etc.
L’étude « The Modern Nomad : connect me if you can » fait le point sur notre rapport à la mobilité et à la transformation de notre rapport au temps et à l’espace.
Vous trouverez le résumé de l’étude dans le lien ci-dessous.
N'hésitez pas nous contacter si vous souhaitez vous entretenir avec Marianne Hurstel et Olivier Vigneaux, à l'origine de cette étude.