| Title | Celui qui ne voyait pas les étoiles |
| Agency | Edelman |
| Campaign | Celui qui ne voyait pas les étoiles |
| Advertiser | Novartis Pharmaceuticals |
| Brand | Novartis |
| Date of First Broadcast/Publication | 2021 / 2 |
| Business Sector | Health & Pharmaceutical Products |
| Philosophy (original language) | Le 28 février 2021, à l’occasion de la Journée Mondiale des Maladies Rares, Novartis lance une campagne de sensibilisation sur les Dystrophies Rétiniennes Héréditaires (DRH), avec la création d’un film d’animation inédit intitulé « Celui qui ne voyait pas les étoiles ». Parce que les DRH génèrent une altération progressive de la vue pouvant parfois conduire à la cécité et qu’elles touchent principalement les jeunes adultes2, Novartis mise sur la créativité pour sensibiliser davantage à ces maladies, leurs symptômes et à l’importance du dépistage génétique pour les diagnostiquer. À travers cette courte vidéo (1 minute), Novartis innove en utilisant les codes et le langage de la nouvelle génération et souhaite ainsi accélérer la prise en charge des patients non diagnostiqués. Conscient de l’errance de diagnostic qui existe aujourd’hui autour de ces maladies, Novartis sensibilise donc les patients qui présenteraient les symptômes d’une DRH à un dépistage génétique permettant d’identifier la maladie3 et ainsi débuter le parcours de soins. Avec un objectif majeur : provoquer une prise de conscience du jeune public potentiellement concerné et aider à instaurer un dialogue avec un professionnel de santé. Réalisé en collaboration avec des experts médicaux et ophtalmologues, « Celui qui ne voyait pas les étoiles » retrace le quotidien d’un garçon atteint d’une Dystrophie Rétinienne Héréditaire en proposant un film moderne s’éloignant des contenus pédagogiques habituellement pensés pour la sensibilisation dans le domaine de la santé. En reprenant des codes esthétiques propres à une génération habituée à consommer du contenu à leur image, Novartis attire l’attention sur l’importance du dépistage avec un film émotionnel et immersif, doublé d’une tonalité propre à la cible jeune que ce film souhaite toucher. Champ visuel qui se resserre, images floues, vision brouillée et déformée, difficulté à voir dans l’obscurité, couleurs désaturées3... Tout au long du film le spectateur est plongé dans une vue à la première personne du protagoniste et partage sa vision pour un ressenti virtuel plus réaliste des symptômes de la maladie. Cette façon de faire vivre les symptômes est accompagnée par une voix off qui tisse au cœur de la narration les différentes évolutions de la maladie. Le rythme est rapide et efficace, soutenu par la modernité de la musique et permet de suivre l’évolution de ses symptômes étape par étape, dans différentes situations de la vie quotidienne alors qu’il grandit et que la pathologie s’accélère. Ce mélange de scènes ordinaires fait la part-belle à son ressenti, dévoilant au subjectif son désarroi, ses doutes et la faculté de se refuser à envisager l’inéluctable, alors même que des solutions existent pour certains patients de nos jours. C’est sur cette touche d’espoir que le message de fin clôt le film, invitant à libérer la parole en consultant un médecin et en se faisant dépister. |
| Media Type | Web Film |
| Length | |
| Soundtrack | "Moment of Joy" de Nicolas Tatarinoff |
| Sound | Kouz Production |
| Creative Director | Marc Horgues |
| Creative Director | Elan Edelman |
| Production Company | Passion Paris |
| Director | Jack-Antoine Charlot |
| Director | John Jones |
| Executive Producer | Marc Bodin-Joyeux |
| Executive Producer | Vermogen Marion |
| Line Producer | Chamseddine Kaddouri |
| Illustrator / Storyboard | Jack-Antoine Charlot |
| Illustrator / Storyboard | John Jones |
| Animation | Victor Chagniot |
| Animation | Sixtine Dano |
| Animation | Florian Perron |
| Animation | Théo Tran Ngoc |
| Compositing | Benoît Galland |
| Voice | Dan Menasche |